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PERPIGNAN/ Tribune Libre : « Le référendum de l’Ecosse, une formidable leçon de démocratie aux Etats de la vieille Europe ! », par Jean-Paul Alduy (UDI), ancien sénateur-maire

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- « Quelles que soient les insuffisances de sa gouvernance et de son projet économique et social l’Europe qui se construit depuis bientôt trois générations est et a été dés le départ un espace de solidarités pour la paix et la démocratie .
Certes dans la crise actuelle,crise économique mais aussi sociale et morale,nos concitoyens ont besoin de gouvernants proches d’eux ,au langage concret,actifs et interactifs .Lorsque  les gouvernants ne savent pas répondre à cette attente les replis identitaires et l’esprit de frontière s’exacerbent.Les questions de la décentralisation des pouvoirs,de l’autonomie des peuples ou de leur indépendance se posent sur tout le continent sous des revendications certes diverses ,mais qui toutes renvoient à l’exigence de proximité et de respect des identités forgées par l’histoire.Les tensions les plus fortes sont apparues en Belgique,en Italie ,au Royaume unité en Espagne ( sans oublier l’Ukraine …) mais elles elles sont aussi présentes en France où la « République des territoires  » s’oppose de plus en plus à l’Etat central rigidifié pour ne pas dire vitrifié par les institutions vieillissantes de la Veme Republique .
Le référendum écossais nous apprend que la maturité ,l’efficacité des institutions d’un État se mesure à sa capacité à régler par la voie démocratique les tensions graves qui le secoue ; ce référendum fera date dans l’histoire de notre continent : à l’issue d’un vrai débat démocratique la question de l’indépendance a été arbitrée par le peuple au terme d’une consultation exemplaire et d’une participation record.Désormais le royaume de Belgique ,le royaume d’Espagne ne peuvent pas ignorer le message du Royaume Uni !
Mais aussi en France : la réforme territoriale piétine et s’enlise au Parlement sous les feux croisés des conservatismes et des corporatismes de tous bords;seule la voie référendaire permettra de réelles avancées sur les questions del la simplification du »mille feuille français » et du cumul des mandats.
Et le gouvernement espagnol pourra- t- il envoyer l’armée pour interdire l’accès aux urnes de la Generalitat ? Pourra-t-il indéfiniment interdire le référendum sur la question de l’indépendance de la Catalogne ?
Seule la voie démocratique permet des solutions durables et peut fermer la voie aux extrémismes violents.C’est la voie du respect des citoyens ,du respect des valeurs socle des solidarités européennes .C’est aussi sur ce chemin qu’une Europe fédérale pourra être inventée ».


PERPIGNAN : Du beau monde autour de Fabrice Rallo pour ses adieux au Roussillon… et ses 35 ans

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Hier soir, au Mas de la Fauceille à Perpignan, plus de 200 personnes étaient réunies autour de Fabrice Rallo (UDI), fils du maire de Saleilles (François Rallo, UMP), ancien directeur de cabinet de Jean-Paul Alduy (UDI), alors président de la Communauté d’Agglomération Perpignan Méditerranée…

Fabrice Rallo qui depuis le 18 juillet dernier a rejoint la région Ile-de-France, plus précisément la commune de Serris-Val d’Europe - il a été remplacé à l’Agglo par Michel Sitja (UMP), également directeur de cabinet du maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol (UMP) – fêtait là son départ des Pyrénées-Orientales (et son anniversaire) en présence de nombreux amis, parmi lesquels : Jean-Paul Alduy, ancien sénateur-maire de Perpignan, chaleureusement applaudi par les invités, Fabrice Villard (ancien directeur de cabinet de JPA écarté pourtant par ce dernier mais faisant hier soir amende honorable lors d’émouvantes retrouvailles très commentées…), Jean-Paul Billès (maire de Pézilla-la-Rivière), Jean-Jacques Thibaut (maire de Théza), José Montessino (maire d’Eus), Jacqueline Irles (maire de Villeneuve-de-la-Raho), José Lloret (maire de Villelongue-de-la-Salanque), Pierre Roig (maire de Sainte-Marie-la-Mer), Alain Got (maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque), Jean-Claude Torrens (maire de Saint-Nazaire), Gilles Foxonet  (maire de Baixas), Lionel Nadal (adjoint au maire de Port-Vendres), Francis Clique (adjoint au maire de Canet-en-Roussillon), Valérie Cons, Eliane Saliès, Armande Barrère, Viviane Saillères, Chantal Gombert, Romain Grau, Me Pierre-Louis Bassole, Francis Rémy (l’Usap), Marcel Zidani, Michel Roig (UDI’66), Aude Bouillard… Sans oublier le sénateur-maire de Le Soler, 1er vice-président de l’Agglo et président du Comité départemental de l’UMP’66, François Calvet (Qui a fait un passage éclair)… ainsi que, la guest star de la soirée, Jean-Christophe Lagarde (UDI), député-maire de Drancy, venu en ami dire, en quelques mots, et en quelque sorte, « que les Roussillonnais avaient eu tort de laisser partir un talent comme celui de Fabrice Rallo, d’ailleurs, nous, en Ile-de-France, nous sommes toujours ravis d’accueillir les talents venus des régions ! ».

Charles C.

P-O/ Elections départementales mars 2015 : L’UDI refuse l’alliance de la carpe et du lapin sur le canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque !

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Lors d’une réunion qui a eu lieu cette semaine, les instances départementales de l’UDI, en présence dit-on de Jean-Paul Alduy (ancien sénateur-maire-président-de-l’Agglo-de-Perpignan), ont rejeté tout soutien à Camille – ou Mathilde ? – Ferrand (fille des maires de Le Barcarès) pour constituer le binôme avec Alain Got (UDI), maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque, tombeur du député Fernand Siré (UMP), aux dernières élections municipales.

L’UDI laisse l’entière responsabilité de ce choix à l’UMP’66 qui tente d’imposer coûte que coûte l’une des filles des Ferrand : « Cela n’a aucun sens, plaide un élu UDI des P-O. Un tel tandem ne tiendrait pas la route et ne ferait qu’encourager le binôme de centre-gauche José Puig/ Mado Garcia-Vidal, sans oublier le FN en embuscade qui fera un gros score en Salanque (…). Puis les électeurs ne comprendraient pas que subitement Alain Got s’allie avec les Ferrand qui ont tout fait, lors des municipales il y a à peine six mois, pour le faire battre ! ».

Jean Christophe Lagarde, nouveau président de l’UDI, met Nathalie Beaufils sur la touche

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Fabrice Villard, ex directeur de cabinet de Jean-Paul Alduy maire de Perpignan, vient d’être désigné par Jean Christophe Lagarde « pour remettre de l’ordre dans la fédération départementale de l’UDI’66 et reprendre la situation en main concernant les investitures pour les prochaines élections départementales (…) ».
Jusqu’ici, c’est Nathalie Beaufils, présidente du Parti Radical des P-O, présidente de l’UDI’66, 4ème adjointe au maire de Perpignan déléguée au Scolaire & à la restauration collective, qui avait seule les cartes en mains…
Fabrice Rallo, ex directeur de Jean Paul Alduy président de l’Agglo, proche de Jean Christophe Lagarde député-maire de Drancy, ne serait pas étranger à ce retournement de situation… Loin s’en faut !

RIVESALTES/ Solart 2 : Mise en place de la monumentale flèche du cadran solaire

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Ce vendredi 28 novembre 2014, en fin de matinée, comme initialement prévu par la Direction de l’Equipement du Territoire – l’une des diverses compétences de la Communauté d’Agglomération Perpignan Méditerranée – a eu lieu, sous la pluie – Est-ce un clin d’oeil du ciel ? – la levée (spectaculaire) du fameux mât du cadran solaire monumental, baptisé « Solart 2 », créé par l’artiste MA2F (Marc-André 2 Figuères), déjà auteur de nombreux défis artistiques dans le département, à Collioure, à Perpignan et, plus récemment, à Sorède.

Il ne s’agissait aujourd’hui que d’une simple étape technique dans la réalisation de cette impressionnante oeuvre – aux dimensions inoubliables : 30 mètres de long pour un poids de 35 tonnes juste pour mettre en place la flèche supposée donner l’heure sous le soleil du Roussillon, très exactement. Mais le levage de la flèche constituant néanmoins un moment décisif et spectaculaire, de très nombreux journalistes et reporters d’images ont afflué des quatre coins de la région (il y avait même une équipe de TF1 pour un futur magazine « Reportages »), pour immortaliser l’événement…

C’est dans le cadre d’une démarche globale de valorisation de la Porte d’entrée nord du territoire de l’Agglo, plus précisément sur le territoire de la commune de Rivesaltes, que les décideurs de l’Agglo Perpignan Méditerranée ont voté en 2013, alors sous la présidence de Jean-Paul Alduy, l’aménagement du rond-point de la RD 83, à proximité immédiate de la sortie de l’autoroute La Catalane et de voies de communication stratégiques reliant par exemple l’Agglo à l’aéroport, etc.-etc.

Le projet de cadran solaire monumental, oeuvre artistique et scientifique portée par MA2F, a été retenu dans le cadre d’un appel à projet artistique. Solart 2 a fait appel à des compétences spécifiques de métallurgie, d’ingénierie et de construction métallique : une véritable synergie de savoir-faire locaux au service de l’art contemporain.

Différentes entreprises locales ont participé à la conception de l’oeuvre : maître d’oeuvre BE2T, Entreprise Richier (structure métallique), Entreprise Bâtibéton (massif de l’oeuvre), Entreprise Malet (conception de l’anneau), Entreprise Hugon (levage de la flèche). Dans le cadre de ses recherches artistiques et scientifiques, MA2F a travaillé en lien avec Denis Savoie, astronome au sein de l’Institut Universciences à Paris. C’est bien sûr l’Agglo Perpignan Méditerranée, au travers de ses services compétents, qui a assuré la maîtrise d’ouvrage.

L’ancrage au sol de cette pièce de 30 mètres de long (la flèche) est une prouesse technique. Sur le pourtour du disque extérieur, les graduations des heures et des demi-heures ont été travaillées par l’artiste afin de créer un espace de lecture de l’heure solaire adapté à la configuration circulaire du site. Les heures apparaissent en mode découpé sur une plaque de métal.

P-O : 2014, retour gagnant du maire du Barcarès, Alain Ferrand, UMP, sur la scène départementale…

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Photo : L’ex-sénateur-maire de Perpignan, Jean-Paul Alduy, par ailleurs ancien président de l’Agglo Perpignan Méditerranée, chuchotant dans l’oreille d’Alain Ferrand, maire du Barcarès…

 

Depuis sa brillante réélection aux élections municipales de mars dernier, dès le 1er tour – 54,63% des suffrages exprimés avec un taux de participation de 72% – malgré la présence de quatre listes d’Opposition, tout semble sourire à Alain Ferrand, UMP, maire de Le Barcarès…

Il a réussi à imposer auprès des instances départementales de l’UMP’66 la candidature de l’une de ses deux filles, Mathilde, en binôme avec le nouveau maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque, Alain Got, UDI, pour les prochaines élections cantonales sur la Côte Salanquaise. Même ses adversaires, ou plutôt ses ennemis, politiques, le reconnaissent : « le nom de Ferrand, qui n’a pourtant rien de catalan, est incontournable sur cette partie du territoire roussillonnais… Se présenter sous l’étiquette Ferrand, c’est partir avec une avance électorale de plusieurs milliers de voix… Le nom de Ferrand sonne désormais comme un label politique en Salanque ! ».

Il est aussi le seul maire UMP des P-O à avoir accueilli dans sa commune un ministre socialiste de la République. C’était en septembre dernier, pour le 150ème anniversaire de la Croix-Rouge Française, dans le cadre des Assises de la Jeunesse, et le ministre était Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. En présence de la préfète des P-O, Josiane Chevalier, qui venait de s’ancrer sur le sol roussillonnais, de la sénatrice des P-O et présidente du Conseil Général’66, Hermeline Malherbe (PS) et du député de la 1ère circonscription des P-O, Jacques Cresta (PS), par ailleurs vice-président de la Région Languedoc-Roussillon.

« ELECTRO BEACH… PRES DE TROIS FOIS PLUS DE SPECTATEURS QUE LE FESTIVAL LES DEFERLANTES D’ARGELES-SUR-MER ET POURTANT TROIS FOIS MOINS CHER ! »

Il faut ajouter encore à l’actif des succès 2014 d’Alain Ferrand la 6ème édition du festival international des musiques électroniques, l’Electro Beach, créé par son épouse Joëlle née Iglesias : 80 000 spectateurs venus d’une cinquantaine de pays et une myriade de Dijés-stars pour promouvoir l’une des plus grande scène électro du moment de la planète, rediffusée en permanence de Séoul à Toronto, en passant par Sao Paulo, Londres et Tel-Aviv ! Même le festival Les Déferlantes d’Argelès-sur-Mer est bien loin, très loin d’avoir une telle aura, un tel prestige (sa réputation ne décolle pas au-delà des frontières départementales alors qu’il coûterait plus de trois fois plus cher…).

2014, c’est aussi pour les Ferrand l’année de tous les procès en diffamation gagnés : contre leurs opposants politiques d’abord, contre trois journalistes de la rédaction France 3 qui avaient annoncé à l’antenne une garde à vue puis l’hospitalisation de Joëlle Ferrand… Tout cela était faux, les journalistes ont été condamnés.

Alain Ferrand compte même désormais parmi ses proches un conseiller régional : Pierre Aloy (dont le fils Frédéric siège dans la Majorité municipale UMP du Barcarès). Celui-ci vient de succéder à Me Louis Aliot (FN), obligé d’abandonner ce mandat politique pour cause de cumul, après son élection au Parlement européen, à Strasbourg. Pierre Aloy, entre temps, s’était fâché avec le Front National des P-O, fustigeant « les choix rocambolesques et pitoyables (…) » de la direction départementale du parti de Marine Le Pen. Pierre Aloy siège donc tout-seul dans l’hémicycle de la Région, mais il est d’un précieux soutien pour l’actuel maire du Barcarès et sa politique de développement lagunaire (Alain Ferrand a été réélu cette année 2ème vice-président du Parc naturel marin du Golfe du Lion)…

Seul échec pour le maître du Barcarès cette année : son élection manquée à la vice-présidence de la Communauté d’Agglomération Perpignan Méditerranée. Mais l’homme a prouvé qu’il avait du ressort et qu’il savait rebondir : il compte bien profiter de la fenêtre de tir des prochaines élections cantonales pour revenir en force sur la scène départementale, en misant sur la victoire de sa fille Mathilde aux côtés de l’autre Alain de la Salanque, M. Got, maire de Saint-Laurent.

 

PERPIGNAN : Jean-Paul Alduy, ancien maire, ne manque pas de toupet !

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Dans les colonnes de l’hebdomadaire roussillonnais Le Petit Journal, Jean-Paul Alduy – ancien maire UMP puis UDI de Perpignan, ose dire « Que le maire de Perpignan doit l’être à temps complet (…) ».

Réaction de l’un de ses anciens compagnons de route tombé depuis en disgrâce : « A bientôt 75 ans (le 7 mai prochain), Jean-Paul Alduy aurait-il déjà oublié qu’il fut, en même temps : maire de Perpignan, président de l’Agglo (PMCA), sénateur des P-O, président de l’ANRU… et on ne nous dit pas tout ! ».

Déjà, en 1993, lors qu’il fut élu pour la première fois maire de Perpignan, il était déjà – et entre autre – conseiller général du canton Perpignan I (Haut-Vernet), ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées… et on ne nous dit pas tout !

PERPIGNAN/ Agglo : « Passage en Communauté Urbaine, il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs », par Fouzi Bouhadi

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_ « J’ai lu avec la plus grande attention, l’article paru récemment sous le titre : « PERPIGNAN/ L’Agglo : Réunion technique des Directeurs Généraux de Services du territoire communautaire ».

Je pense que le passage de l’Agglo à la communauté urbaine est une étape très importante qui ne doit pas se faire dans la précipitation, parce qu’elle exige une organisation plus complexe due aux nouvelles compétences obligatoires.

Elle exige également et surtout des objectifs claires, fixés par une vision stratégique claire .

Parmi ces nouvelles compétences, je peux citer quelques exemples :

En matière de développement et d’aménagement économique, social et culturel de l’espace communautaire : Lycées et collèges dans les mêmes conditions que les départements et les régions, Promotion du tourisme, dont la création d’offices de tourisme, Construction ou aménagement, entretien, gestion et animation d’équipements, de réseaux d’équipements ou d’établissements culturels, socioculturels, socio-éducatifs, sportifs …

En matière d’équilibre social de l’habitat sur le territoire communautaire : Opérations programmées d’amélioration de l’habitat, actions de réhabilitation et résorption de l’habitat insalubre..

En matière de gestion des services d’intérêt collectif : Création, extension et translation des cimetières, ainsi que création et extension des crématoriums et des sites cinéraires, Concessions de la distribution publique d’électricité et de gaz, Création et entretien des infrastructures de charge de véhicules électriques…

Certes, la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles votée en 2013, a abaissé le seuil démographique de création des communautés urbaines de 450 000 habitants à 250 000 habitants, ce qui pourrait permettre à la Communauté d’Agglomération Perpignan Méditerranée de devenir une communauté urbaine, mais cette condition démographique qui n’est pas une condition qualitative ou de performance, ne doit pas nous faire oublier les insuffisances des communes qui composent l’actuelle communauté. Les insuffisances d’aujourd’hui seront les lacunes de demain !

Prenons l’exemple du SCOT qui est une compétence des communautés urbaines et communautaire par nature.

« C’est un projet de territoire visant à mettre en cohérence l’ensemble des politiques sectorielles notamment en matière d’urbanisme, d’habitat, de déplacements et d’équipements commerciaux, dans un environnement préservé et valorisé. »

Peut-on, alors, parler, aujourd’hui, de cohérence et de complémentarité intelligente entre les communes dans un projet commun, quand on pense à la guéguerre passée, entre certains maires, pour l’obtention de leurs quotas de zones commerciales ?

Peut-on parler d’ambition territoriale quand la vision d’un maire est réduite à espérer que sa commune ressemble un peu plus à La Jonquera ?

Je ne suis pas, non plus, satisfait de la déclaration du président de l’agglo, censée expliquer sa vision (s’il en a une ?) à travers ce projet et fédérer l’ensemble des communes : « c’est un acte fort d’affirmation territoriale dans la grande région administrative qui va naître de la Réforme Territoriale nationale engagée, avec un statut proche de celui des métropoles, Toulouse et Montpellier pour ce qui nous concerne…»

Ce ne sont pas des raisons acceptables. C’est une belle adaptation d’un vieux discours sur le positionnement de Perpignan au sein du triangle Montpellier-Toulouse-Barcelone… qui n’a jamais donné de résultats concrets, parce que nos fondamentaux sont bien maigres et notre économie est largement rentière et peu diversifiée.

Je ne décèle aucune réflexion prospective dans cette déclaration, bien au contraire, elle révèle un retour à l’ancien argumentaire déjà usé par son prédécesseur, sans succès.

Ces coups de pioches dans le passé, on les retrouve également dans cette idée du retour des étudiants au centre-ville, combien de fois citée dans les programmes des anciens candidats ? Même Claude Barate l’avait évoqué.

Le déficit en matière de réflexion est flagrant…

La vérité est que la ville de Perpignan est à la fois un fardeau et un atout majeur pour la communauté d’agglo. La ville a besoin d’être réorganisée et a besoin de corriger ses dysfonctionnements, pour mieux jouer son rôle de locomotive de cette communauté.

Il existe au sein de la ville de réelles compétences, qui méritent d’être encouragées et partagées, à l’instar de la direction de l’habitat et de ses services, qui seront utiles à l’ensemble de la communauté, mais ce n’est, hélas, pas le cas de toutes les directions dont un certain nombre est en sureffectifs et très mal managé.

Tout argument qui laisserait penser que Perpignan pourrait peser sur le cinquième PIB de France (Toulouse) serait exagéré et farfelu.

Cette situation me fait rappeler aussi l’agence de développement économique.

L’ancien président (Ndlr, Jean-Paul Alduy, UDI) voulait une agence de développement économique sauf qu’il n’avait jamais réussi à nous expliquer pourquoi ?… et quand je lui avais fait observer qu’il était nécessaire de travailler d’abord la vision stratégique de développement économique de notre territoire, il m’avait répondu que ma démarche était trop technocrate.

Nous sommes aujourd’hui au même niveau, au même stade… avec un projet de mutation creux, des objectifs incohérents et 1 000 fois hélas, sans la moindre vision stratégique, un peu à l’image de notre Tecnosud occupé par des avocats, huissier de justice, experts comptables… et des concessionnaires auto, peut-être demain, dans Technosud 2.

L’absence de vision stratégique est la source du sous-développement de notre territoire. Elle est également responsable de ce grand désordre qui retarde et affaiblit notre économie.

Nos décideurs politiques n’ont cessé, depuis ces dernières années, de mettre la charrue devant les boeufs… et ils continuent. C’est fort désespérant ! ».


Collioure:communiqué de presse concernant l’ouverture des abonnements Parking.

PERPIGNAN : Marie-Thérèse Sanchez-Schmid élue sans panache adjointe de la Ville…

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Ce jeudi 12 février 2015, en fin d’après-midi, le conseil municipal de la Ville de Perpignan se réunissait en séance publique sous la présidence de son maire, Jean-Marc Pujol, UMP, par ailleurs président de l’Agglo.

A l’ordre du jour : la présentation du Débat d’Orientation Budgétaire (DOB)… et l’élection d’un nouvel adjoint afin de remplacer Pierre Barbé, démissionnaire « pour mieux se consacrer à sa délégation municipale, au Tourisme, ainsi qu’à la Présidence de l’Office de Tourisme de Perpignan ».

C’est Marie-Thérèse Sanchez-Schmid, UMP, ancienne députée européenne, enseignante, qui lui succède, comme l’a souhaité le 1er magistrat.

Lors du vote obligatoire des 55 membres du Conseil municipal pour entériner ce choix, Marie-Thérèse Sanchez-Schmid a obtenu 31 voix, contre 12 voix à la candidate porté par le Groupe Perpignan Ensemble de Louis Aliot (FN/ RBM), Claudine Fuentes, et 1 bulletin nul + 11 bulletins blanc !

Traduction : 12 élus de la Majorité municipale UMP-UDI-Unitat Catalana n’ont pas soutenu l’élue qui avait pourtant déjà occupé un poste d’adjointe dans les précédentes équipes menées par Jean-Paul Alduy, alors maire de Perpignan. Commentaire relevé dans les rangs de l’Opposition FN/ RBM : « Quelle gifle pour Sanchez-Schmid !… Le maire va devoir tenir compte de cette désaffection dans ses propres rangs, moins d’un an après les élections municipales… ».

P-O/ Elections Départementales 22&29 mars 2015 : Le FN se qualifierait pour le second tour dans 15 des 17 cantons !

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Comme les départements du Gard (30), du Pas-de-Calais (62), du Var (83) et du Vaucluse (84), le département des Pyrénées-Orientales vient de rejoindre les espoirs du Front National au niveau national pour, les 22 & 29 mars prochains, créer l’événement et remporter la mise à l’occasion des élections cantonales.

A ce jour, en tenant compte de (presque) toutes les candidatures déclarées, officielles ou officieuses, il n’est pas nécessaire de sortir de Saint-Cyr, ou d’être parmi les figurants appointés sur le plateau télévisuel quotidien de l’émission d’ Yves Calvi, « C’est dans l’air » sur la 5, pour pronostiquer désormais que le parti de Marine Le Pen – FN/ RBM pour Rassemblement Bleu Marine – a toutes les chances de se qualifier pour le second tour, en s’offrant même le luxe d’arriver en tête au soir du dimanche 22 mars 2015 dans… quinze des dix-sept cantons des Pyrénées-Orientales !

En effet, seuls deux cantons des P-O serait épargnés par la vague Bleu Marine : ceux du Canigou et des Pyrénées-Catalanes. Dans tous les autres cantons, notamment ceux de la côte – Salanquaise, Sableuse et Vermeille – et ceux de l’agglomération perpignanaise, des observateurs roussillonnais venus d’horizons divers (universitaires, politiques, hauts fonctionnaires et économistes), qui se sont penchés sur la situation, et qui souhaitent conserver l’anonymat de leur Groupe pour ne pas subir de quelconques pressions, s’attendent à « un raz-de-marée historique du FN ».

Pour cela, leur approche s’appuie sur les binômes en piste, sur les derniers résultats électoraux – municipales et européennes – sur des projections locales à partir de faits économiques, sociaux, générationnels et identitaires.

Préfecture et Conseil Général des P-O pointés du doigt

D’abord, il s’étonnent ou plutôt ils s’indignent que les services de l’Etat – Préfecture en tête – et le Conseil Général des Pyrénées-Orientales « n’aient pas fait le job en amont ! ». A savoir : « Alors que pour la toute-première fois ce sont tous les cantons, tous les électeurs du département qui sont appelés aux urnes en même temps pour élire en bloc le Conseil départemental de la collectivité territoriale toute entière, nous sommes stupéfaits de constater qu’aucune démarche d’information, de communication – ne serait-ce que pour expliquer Qui vote et Quelle commune dans Quel canton ? – n’a été programmée ! Du coup, nombre d’habitants ne sachant pas dans quel canton leur commune est située ne se sentent pas concernés (…). Nous avons même testés des candidats qui – notamment dans les cantons de La Vallée de l’Agly, des Pyrénées Catalanes ou encore des Aspres – ne connaissent pas la totalité des communes situées sur leur territoire cantonal. Le comble ! ».

Toujours selon ces observateurs : « Le risque réel est que l’électorat ne se mobilise pas, et que nombre de candidats, parce qu’ils n’auront pas franchi la barre des 12,5% des électeurs inscrits – c’est-à-dire 25 à 30% des suffrages exprimés, en espérant qu’il y aura aux environs de 50-55% de votants, ce qui est loin d’être gagné – seront repêchés dans des circonstances désastreuses pour le débat démocratique (…) ».

Les observateurs tirent également la sonnette d’alarme sur le trop plein de candidatures : « C’est à gauche que la situation est à ce jour la plus dangereuse et donc forcément la plus critique : dans certains cantons – comme sur celui de la Côte Vermeille ou encore sur Perpignan, la profusion des candidats – PS-PCF, Parti de Gauche/ Front-de-Gauche, PRG, Ecolos, Divers Gauche, etc., se présentant en désordre de bataille, pourraient logiquement empêcher la gauche d’être présente au second tour, laissant la place pour le dimanche 29 mars à des duels exclusifs FN/ UMP-UDI-CDC ».

Le cas Bruno Delmas, qui a tout pour plaire mais…

Sur Perpignan plus particulièrement : « La présence de candidats estampillés L’Olivier et portés par leur guide spirituel – mais qui reste virtuel à ce jour et dans les résultats – Bruno Delmas, ne devrait pas faire de l’ombre aux candidats officiels de l’Union réussie par le trio François Calvet, Jean Castex et Jean-Marc Pujol, qui rassemble sous un même drapeau et slogan (Catalans gagnants… On espère que la veille l’USAP n’aura pas perdu le match !), la droite républicaine UMP, des centristes de l’UDI et des catalanistes du mouvement Convergence Démocratique de Catalogne (CDC). En effet, Bruno Delmas a déjà pour grande partie consommée son énergie lors des récentes élections municipales, il y a moins d’un an, et malgré son courage dans l’action, son discours électrifiant, la qualité de ses analyses qui demeurent cependant sur un ton populiste proche du FN, ses supporteurs se sont déjà exprimés en mars 2014 et ils n’ont pas empêché Jean-Marc Pujol d’être élu, seul contre tous. Bruno Delmas a tout pour plaire – son physique, sa connaissance du terrain, des groupies, ses réseaux chez les bloggeurs et les journalistes qui l’adorent et lui servent le verbe quotidiennement ignorant bizarrement tout un pan de son passif – il a tout sauf visiblement des militants prêts à le suivre jusqu’au bout. C’est là un handicap de taille. Il sera intéressant de suivre les cantons dans lesquels Bruno Delmas aura décidé de déclarer la guerre à l’UMP… étant lui-même UMP ! Que fera alors François Calvet, ès-qualité de Président du Comité Départemental de l’UMP’66 ? Obtiendra-t-il la tête de Bruno Delmas en le faisant exclure de l’UMP ? ».

Sur Perpignan toujours : « Le silence – et l’absence dans ce scrutin à venir – d’une Clotilde Ripoull, qui avait pourtant créé l’événement contre toute-attente en mars 2014, flirtant avec la barre des 10% lors des municipales, alors que tous les « sondages » (?) la reléguaient sous la barre des 5%, pourrait être attribué à l’Amitié qui lie le couple Clotilde-Jérôme Ripoull à Jean Castex, maire UMP de Prades, conseiller régional, ex secrétaire général adjoint de l’Elysée (du temps de Nicolas Sarkozy président de la République), et surtout chef-de-file de l’UMP-UDI-CDC pour les élections départementales des 22 et 29 mars prochains. Il est lui-même candidat sur le vaste canton des Pyrénées-Catalanes, qui s’étire de l’Andorre jusqu’aux communes de Los Masos et Eus, face au conseiller général sortant de la Majorité départementale PS-PCF, Georges Armengol (Divers gauche), par ailleurs maire de Saillagouse. A Paris, quelquefois en présence d’ailleurs du sénateur-maire de Le Soler François Calvet, Jean Castex et Jérôme Ripoull déjeunent régulièrement ensemble. Ceci expliquerait donc cela : la non-candidature de Clotilde Ripoull, pourtant longtemps annoncée comme binôme sur les cantons d’Elne, des Aspres ou de la Vallée de l’Agly ».

Sur Perpignan encore, la tâche des candidats UMP-UDI-CDC ne sera pas pour autant des plus aisées : « A cause d’un FN pronostiqué au plus haut de sa vitalité, la gauche pourrait conserver les cantons 8, 10 et 11, tandis que le FN n’aura jamais été aussi bien placé pour l’emporter sur les cantons 6 et 9. Dans ce cas de figure, l’UMP conserverait le canton 7 (actuellement Perpignan II avec les communes de Bompas, Villelongue-de-là-Salanque et Sainte-Marie)… Maigre butin ».

L’analyse relève également « Que sur Perpignan, en l’absence directe et frontale du maire Jean-Marc Pujol, qui n’est pas candidat à cette échéance électorale, il sera intéressant de mesurer le poids de ses colistiers qui seront sur le terrain : Caroline Ferrière-Sirère et Olivier Amiel sur Perpignan III/ Cabestany (le canton 8 désormais) ; Annabelle Brunet et Richard Puly-Belli sur Perpignan I/ Vernet (le canton 6 désormais) ; Chantal Gombert et Bernard Lamothe sur Perpignan VI/ Toulouges (le canton 11) ; Joëlle Anglade sur Perpignan II/ Bompas (le canton 7) ; Véronique Vial sur Perpignan V/ Canohès (le canton 10 désormais) ; Isabelle de Noël-Marchesan et son 1er adjoint Romain Grau sur Perpignan IV/ Moulin-à-Vent (le canton 9 désormais). En n’imposant que ses adjoints ou conseillers municipaux de sa Majorité municipale, Jean-Marc Pujol tente-t-il de rééditer un exploit « à la manière de Paul Aduy » (à ne surtout pas confondre avec son fils, Jean-Paul Alduy) ? Y réussira-t-il ? Réponse dans moins de 6 semaines ».

Dans tous les cas de figure exprimés à partir de ce constat, les observateurs notent que « l’on pourrait s’acheminer vers aucune majorité absolue, si ce n’est à partir d’ententes souterraines qui échapperaient à toute logique républicaine, mais qui seraient le fruit de combinaziones politiciennes ».

Le Groupe nous promet une analyse plus affinée à partir du dépôt définitif des binômes sur les dix-sept cantons.

A suivre.

 

LE BARCARèS : L’Opposition municipale dénonce le nouveau record de la dette communale

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Dette communale : un nouveau record !

 

Sous ce titre, l’Oppositin municipale communique :

- « Au 31 décembre 2014, « la situation de la dette s’établit à 29.872.346€ ». Soit un endettement de 7.247€ par habitants.

A cette dette communale, s’ajoute celle de la Communauté d’Agglomération de Perpignan Méditerranée qui s’élève à 2042€ par habitant.

Il est juste de se souvenir que l’ancien maire du Barcarès, condamnée à 5 ans d’inéligibilité, et le Maire actuel furent, chacun leur tour,  Vice-président de Jean-Paul Alduy lorsqu’il était Président de l’agglo et qu’à ce titre ils ont participé par leur vote à cet endettement supplémentaire.

Grâce à une gestion saine des deniers publics à la commune comme à l’Agglo, un Barcarésien est endetté à hauteur de 9.289 €.

Faisons un petit historique de la dette Barcarésienne depuis 2008 :

2008: 18.821.000
2009: 20.250.000
2010: 20.110.000
2011: 24.620.000
2012: 26.782.000

2013: 27.277.000 €

2014: 29.872.346 €

La situation est aujourd’hui plus que délicate. Le poids croissant des emprunts obère la capacité de financement de la commune et le ratio prudentiel des 10 ans est largement dépassé. 

Le 9 mars l’ordre du jour du Conseil appelle le Débat d’Orientation Budgétaire. La municipalité nous annonce « qu’aucune piste ne pourra être négligée. Des voies s’imposeront à nous [NDLR : les élus de la majorité], toujours difficiles et pour certaines douloureuses » .

Nous avons prévenu, nous avons expliqué au cours de la campagne électorale la réalité des choses. Maintenant les contribuables Barcarésiens sont au pied du mur à cause d’une gestion de cigale et la majorité municipale, responsable de la situation, commence à annoncer une cure d’austérité.

Mais comme le dit le proverbe « on a toujours tort d’avoir raison trop tôt ».

Pour 2015, le nouveau credo de la majorité est le suivant  « Dépenser moins pour dépenser mieux », soulève de nombreuses questions dont celle-ci : pourquoi un tel endettement et où sont les équipements structurants ? ».

 

Yvan Naya-Dubois                                                            Sabine Muller

      Conseiller municipal                                       Conseillère municipale

CÉRET/ Elections Départementales : Jean Paul Alduy est annoncé ce soir à la réunion publique du binôme Nathalie Bussière – Jean Pierre Brazès

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- « Chers ami(e)s,

 

J’ai le plaisir de vous annoncer qu’à notre réunion de ce soir 19h à Céret ( Salle de Nogarède ) nous aurons le plaisir d’accueillir Jean-Paul Alduy…

 

En effet, Jean-Paul est un enfant du Vallespir, il a suivit sa scolarité au Lycée Déodat de Séverac à Céret.

 

- Polytechnicien ( Promotion 1962 ) sorti dans le corps des Ponts et Chaussées ( 1967 ), Jean-Paul ALDUY effectue une grande partie de sa carrière en Côte d’Ivoire en tant que directeur du bureau central d’études techniques, de 1978 à 1980.

Il est, par la suite, secrétaire permanent du Plan construction et chef du service de la politique technique de la direction de la construction au ministère de l´Urbanisme et du Logement (1981-1986). Un an après avoir quitté ce poste, il devient brièvement conseiller technique au cabinet de Pierre MEHAIGNERIE 1987-1988), alors ministre de l’Équipement, du Logement et des Transports.

Il est ensuite directeur général de l’établissement public d’aménagement de Saint Quentin en Yvelines de 1988 à 1993. En 1998, il devient ingénieur général du corps des ponts et chaussées.

Jean-Paul ALDUY, a été maire et sénateur  de la ville de Perpignan. -

 

Nathalie et moi même, répondrons à l’ensemble de vos questions concernant notre vision du développement économique du département et plus particulièrement du canton Vallespir-Albères ( agriculture, tourisme, commerce, artisanat, industrie ) ainsi que sur les questions concernant les aides sociales gérées par le département ( RSA, aide aux handicaps, jeunesse, seniors, etc… )

 

Nous vous expliquerons pourquoi nous sommes attachés au renouvellement de notre classe politique et au nom cumul des mandats, à la fois en nombre et en durée.

 

Enfin, nous vous expliquerons pourquoi, si nous sommes élus, nous abandonnerons 25% de nos indemnités au bénéfice des associations du canton, soit en fin de mandat la somme de 70.000 €uros, réinjectée dans le tissu associatif.

 

Un apéritif convivial clôturera cette soirée.

Venez nombreux

Cordialement »

Nathalie BUSSIERE  & Jean-Pierre BRAZES

PERPIGNAN/ Elections Départementales 29 mars 2015 : L’étonnante analyse électorale de Jean-Paul Alduy, ancien sénateur-maire, sur son blog…

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Et si Jean Castex perdait à cause de  Jean Marc Pujol ?

Jean-CASTEX-photo-campagne-départementales-2015« Le premier tour des cantonales aurait dû, comme dans la plupart des départements qui nous ressemblent, ouvrir clairement la voie  à une alternance à la tête de l’assemblée départementale.

D’ailleurs Jean Castex fait un score remarquable dans des terres qui furent longtemps dirigées par la gauche ce qui confirme que la tendance nationale peut s’exprimer en terre catalane !

Par contre sur Perpignan la tendance est inversée … Jean Marc Pujol en plaçant en première ligne sur tous les cantons ses colistiers a voulu délibérément transformer ce scrutin en troisième tour des municipales ; le résultat est sans appel : le FN recueille 37% des suffrages exprimés ( il augmente son score du premier tour des municipales ), les listes Pujol 26% et la gauche 24%…

Dès lors, non seulement la légitimité démocratique de l’équipe municipale est ébranlée et son image ternie, mais, plus grave l’alternance risque de ne pas être au rendez-vous de dimanche prochain à cause de l’échec sur Perpignan où dans 3 cantons sur 6 les listes UMP-UDI sont éliminées.

Hermeline MALHERBE - PrŽsidente Conseil GŽnŽral des PyrŽnŽes OriToutefois rien n’est joué : la gauche en position favorable sur 6 cantons, la droite et le centre sur 5 ; tout se joue sur 6 cantons dont 3 sur Perpignan où le FN est largement en tête.

Pour ma part je considère que dans ce contexte la consigne du «  Ni-Ni » de Nicolas Sarkozy est non seulement une faute morale ( le FN c’est le droit du sol et un nationalisme total ethnique, économique et culturel ) mais une faute politique : faire barrage au FN et le dire clairement c’est le seul moyen d’éviter que ce parti soit l’arbitre des majorités départementales.

Comment en est-on arrivé là sur Perpignan où plus rien ne résiste à la montée du FN ?

La question ne pourra plus être éludée longtemps ».

 

NDLR. Les adversaires politiques de l’ancien sénateur-maire de Perpignan (1993-2010), ex président de l’Agglo également, n’ont pas manqué de réagir. L’un d’eux lui répond d’ailleurs : « Jean-Paul Alduy a la mémoire sélective… Par exemples, lors des précédentes élections cantonales, en 2010, sur le Bas-Vernet, il a soutenu et imposé sous les couleurs de l’UMP la candidature de l’ancien Secrétaire Départemental du Front National’66, Jean-Louis de Noëll, allant jusqu’à l’adouber en l’affublant d’une suppléante de son propre camp, le Parti Radical… Cette fois-ci encore, à Céret, sur le canton Vallespir-Albères, Jean-Paul Alduy, bien qu’étant à la retraite, ne s’est pas gêné pour aller soutenir un candidat dissident de l’UDI, Jean-Pierre Brazès, empêchant par ricochet l’UMP de se qualifier pour le second tour et laissant de fait aux électeurs « de son camp » le choix entre la Gauche et le FN… Tous les scrutins électoraux démontrent, s’il le fallait, que l’ère alduyiste aux commandes de la ville de Perpignan, a favorisé l’implantation locale et la « notabilisation » du FN qui, depuis 1989, aux municipales notamment, Paul Alduy le père de Jean-Paul étant alors maire n’est (presque) jamais plus passé sous la barre des 30%… Enfin, faut-il rappeler que c’est Jean-Paul Alduy qui a mis en place Jean-Marc Pujol ? Mais ça, visiblement, c’était avant ».

Pourquoi JPA n’ira pas au Meeting de Nicolas Sarkozy…


PERPIGNAN/ Elections départementales : Jean-Marc Pujol (UMP), maire, dénonce « les déclarations irresponsables de Jean-Paul Alduy qui ont contribué à l’échec des candidats de l’Agglo »

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Jean-Marc PUJOL, maire de Perpignan, communique :

- « Je suis heureux pour les candidats de la Ville qui ont porté les couleurs de Perpignan dans un combat difficile. La solidarité de notre équipe a été reconnue par les perpignanais.

Mon action politique est renforcée malgré le charcutage électoral. Les candidats de la Ville maintiennent le score des municipales. On voit bien que le meilleur moyen de faire barrage au Front National est celui d’une union de la droite et du centre assumée et cohérente.

Pour la première fois depuis vingt ans, la mairie de Perpignan sera représentée par six élus de Perpignan alors qu’il n’y en avait que quatre auparavant, soit une progression de 50%.

Je regrette que Jean Castex n’ai pas trouvé une majorité, mais il est vrai que les dissidences de L’Olivier et les déclarations irresponsables de l’ancien président de l’agglomération de Perpignan (NDLR, Jean-Paul Alduy/ UDI) ont contribué à l’échec des candidats de l’agglomération ».

PERPIGNAN : Et si c’était « elle », la grosse pointure socialiste annoncée pour être parachutée localement afin de gagner la ville en 2020, face au FN ?

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Depuis quelques semaines, une rumeur se fait de plus en plus insistante dans le microcosme perpignano-perpignanais pour annoncer le parachutage d’une personnalité parisienne socialiste à Perpignan, aux prochaines élections municipales (2020), dans le cadre de la succession au maire sortant UMP, Jean-Marc Pujol, qui ne se représentera pas… mais qui n’a pas dit son dernier mot !

Car c’est méconnaître Jean-Marc Pujol que de penser qu’il laissera les clés de sa Mairie sans instruction, sans une feuille de route… L’homme, c’est une image, pourrait bien emporter le double des clés, à défaut de changer la serrure (et le barillet qui va avec).

Revenons à nos moutons…

La personnalité de gauche dont il est ici question serait Cécile Alduy, fille de l’ancien maire UDF de Perpignan (1993/ 2010) et ex sénateur des P-O, Jean-Paul Alduy, et de Dominique Alduy, qui pendant quatre ans à la direction générale de France 3 et onze ans au directoire du journal Le Monde dans les années 90…

Professeure de littérature française à la Stanford University of America, au sud de San Francisco (Californie), Cécile Alduy fait actuellement la promotion de son livre « Marine Le Pen prise aux mots », paru chez Seuil et co-écrit avec Stéphane Wahnich. Pour ce faire, Cécile Alduy aurait analysé quelque 500 discours prononcés par Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine Le Pen.

C’est la raison pour laquelle elle occupe régulièrement ces derniers temps le PAF (Paysage Audiovisuel Français). Elle est invitée sur de nombreux plateaux pour faire le point sur la polémique ambiante au sein de la famille Le Pen, ses hôtes médiatiques lui attribuant un rôle d’experte sur la sémantique des Le Pen… Ce qui serait éminemment contestable selon d’autres observateurs revendiquant une présence antérieure dans la filière « lepeniste »… Encore une historiette de bobos parigots sirotant un mojito confortablement installés chez Lipp.

Car pour l’heure, c’est bien elle, Cécile Alduy, qui tient la corde. Il n’en demeure pas moins surprenant, étonnant, d’assister à cette avalanche littéraire d’analyses et d’études sur « le pourquoi », « le comment », « les raisons » de la montée et de l’implantation sociale du Lepénisme, à l’instinct précurseur au sommaire et au prologue de chaque livre actuellement consacré au phénomène Marine/ Jean-Marie, et vice-versa, pour au final vite mieux s’en dédouaner en conclusion… Ri-di-cule !

Et quelle perte de temps (et de talent aussi quelque part) pour tous ces experts avides de fautes de syntaxe dans le discours, mais qui musèleraient bien la liberté d’expression aux extrêmes, qui réduisent et caricaturent le vote Lepéniste à la sortie de l’€, au « Restons Français! », etc.-etc. Qu’ils aillent tout simplement Bon Dieu (et malgré eux) dans les bistrots et sur les marchés de plein air Hexagonaux, à l’heure apéritive, et, dans le flot des conversations, ils comprendront rapidement les arguments des uns et des autres : retrouver du travail, accéder à un logement, faire baisser l’insécurité, préserver une identité, un mode de vie, une façon de vivre, une manière de humer l’air du temps… Pas besoin comme aurait dit feu Coluche « de sortir de la cuisine à Jupiter » pour le comprendre… « Cuisine électorale » s’entend ici, bien entendu !

Revenons à nos moutons, une fois de plus…

Au fait, selon vous, y’aurait-il un lien de cause à effet entre les gesticulations, élucubrations – voire « hallucinations » selon d’autres – entre le retour de JPA (Jean-Paul Alduy), à 73 ans le 7 mai prochain, sur les réseaux sociaux… et la mise en scène de sa fille Cécile ? A suivre.

PERPIGNAN : « Mais pourquoi nous battons-nous ? », par Jean Paul Alduy, ancien sénateur-maire

PERPIGNAN/ Jean-Paul Alduy : « Faut-il vendre notre territoire ? »

PERPIGNAN/ Fichage ethnique : Fouzi Bouhadi, ancien conseiller municipal, interpelle Louis Aliot (FN), député européen

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Fouzi Bouhadi nous communique avec prière d’insérer :

 

- « Le communiqué de presse de Louis Aliot montre que la dédiabolisation du FN a du mal à se frayer un chemin dans le champs républicain.

En choisissant de s’attaquer à l’ancienne mairie, dirigée par Jean-Paul Alduy, Louis Aliot tente de contourner le dérapage anti-républicain du maire de Béziers.

 

Comparer des choses non comparables, comme cette interview de Jean-Paul Alduy, publiée dans L’Indépendant du 23 juin 2005 après les évènements de mai 2005, avec l’affaire actuelle de Béziers , est franchement ridicule.

 

Malgré les divergences que j’ai eu par le passé avec Jean-Paul Aluy sur certains sujets, à aucun moment je n’ai douté de l’homme, ni de ses valeurs morales.
Je crois qu’à l’époque actuelle où tout semble fonctionner à l’envers, apporter mon témoignage en faveur de Jean-Paul Alduy relève d’une question d’honneur.
Quant à M.Aliot, je l’invite à répondre clairement à une question qui s’impose dans le débat actuel : est-ce qu’il condamne le fichage des élèves de Béziers par le maire de Béziers, oui ou non ?  »

 


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